Vapotage

France Vapotage | Six nouveaux industriels et grossistes adhèrent

Il y a 4 jours, 4 heures

13 février 2025. La Fédération de fabricants de produits de vape, France Vapotage, a publié un communiqué annonçant que « six nouvelles entreprises, opérant en France et avec une majorité de PME, rejoignent France Vapotage pour défendre le secteur et le rôle du vapotage contre le tabagisme ».

Voici les six nouveaux adhérents :

• Airmust, implanté à Orléans, fabricant et distributeur de e-liquides et de pods (marques : Airmust, Paperland, Unik…) ;
• E.Tasty, implanté dans le Loiret, fabricant et distributeur d’e-liquides et de pods (principales marques : Amazone, One Taste, Easy pod) ;
• J Well, implanté à Paris et dans l’Essonne pour son site industriel, fabricant et distributeur de cigarettes électroniques et d’e-liquides, réseau d’une centaine de boutiques en France, présent à l’international dans 25 pays (marque : J Well) ;
• Kumulus Vape, implanté dans le Rhône, pure retailer en ligne, grossiste, franchiseur et fabricant d’e-liquides (marques : Cigaverte, Mexican Cartel, Religion Juice…) ;
• Nicoswitch, implanté en Corrèze, fabricant et distributeur d’e-liquides (marque : D’Lice) ;
• SunnySmoker, implanté à Boulogne-Billancourt, fabricant et distributeur d’e-liquides (marque : Pulp).

 

Selon le communiqué, les cinq priorités de France Vapotage sont :

• « Accompagner les fumeurs dans leur sortie du tabagisme. La cigarette électronique est l’outil le plus utilisé et considéré comme le plus efficace pour arrêter de fumer, et 55% des fumeurs adultes pourraient envisager de sortir du tabagisme dans les prochains mois grâce à elle, sachant que le vapotage est une pratique incontestablement moins risquée pour la santé car sans combustion de tabac ;
• Préserver pour cela l’attractivité des produits du vapotage en comparaison avec ceux du tabac. France Vapotage s’oppose en particulier à toute surfiscalisation qui pourrait entraîner une forte hausse de la prévalence tabagique : 62% des vapoteurs estiment probable (et 20% très probable) de reprendre ou d’augmenter leur consommation de tabac si les prix de la cigarette électronique et des e-liquides augmentaient fortement du fait d’une hausse des taxes. Une telle décision, heureusement écartée dans les derniers textes budgétaires, aurait aussi pour conséquences le développement d’un marché parallèle du vapotage et le déclin des acteurs industriels et économiques implantés au cœur de nos territoires ;
• Défendre la pérennité d’une filière dynamique qui représente en France 20 000 emplois directs ou indirects et plus de 20 000 commerces de proximité sur l’ensemble du territoire ;
• Protéger les plus de trois millions de consommateurs en assurant la commercialisation de produits sûrs et de qualité (dispositifs comme e-liquides) ;
• Faire respecter par les autorités administratives compétentes et de manière stricte l’interdiction de promotion et de vente aux mineurs. »

Rappelons que France Vapotage a été créée en juillet 2018 et représente désormais une vingtaine de fabricants et grossistes français de produits de vapotage.

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